"Me tenant comme je suis, un pied dans un pays et l'autre en un autre, je trouve ma condition très heureuse, en ce qu'elle est libre." - R. Descartes

vendredi 1 juillet 2011

the big apple

Le tournant de mon voyage - supposé se dérouler en Colombie - a eu lieu lorsqu'une de mes très bonnes amies vivant à New York m'a appris qu'elle ne pourrait pas m'accueillir chez elle au mois de juillet mais qu'elle serait ravie de m'héberger la dernière semaine de juin. Elle m'a informé de cela un peu après mi-juin, alors que j'étais sur la côte. Qu'à cela ne tienne, j'avais mon passeport et n'avais pris aucun billet d'avion pouvant contraindre ce changement inopiné de plan. Après Cartagena c'est donc tout naturellement que je me suis envolée en direction de New York !
Alors il faut tout de suite vous dire que je ne partais pas des étoiles plein les yeux. J'étais contente d'y aller, mais je m'attendais à une énorme métropole bruyante, suffocante voire asphyxiante. Au lieu de cela, j'ai découvert un énorme village, où il fait plutôt bon vivre et où les gens sont souriants et toujours disposés à aider les touristes. Bien sûr il y a plein de gratte-ciels partout, mais à aucun moment je ne me suis sentie oppressée, car il sont finalement disposés de façon étrangement aérée et ne sont pas présents dans tous les quartiers. Malgré les larges rues aérées (qui contribuent au passage à espacer les paysages), il est agréable de marcher en ville, contrairement à Dubaï par exemple où les distances sont toujours trop importantes et le soleil souvent trop accablant.

Bref si vous ajoutez à cela qu'on trouve à peu près tout ce que l'on peut être amené à chercher sur place (restos de partout et même d'ailleurs, shopping international, vie culturelle fournie), New York est une ville plutôt sympa où il doit faire bon vivre. Peut-être moins l'hiver cela dit...

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