"Me tenant comme je suis, un pied dans un pays et l'autre en un autre, je trouve ma condition très heureuse, en ce qu'elle est libre." - R. Descartes

lundi 11 janvier 2010

Gla Gla Gla

Rassurez-vous je suis bien arrivée à Marseille samedi peu avant 15h, mais je n'avais pas accès à internet jusqu'à aujourd'hui.

Vol éclair en à peine plus d'une heure, avec pour seule lecture le Figaro car j'étais parmi les derniers à embarquer (faire la queue me donne des boutons). Je l'ai lu de bout en bout ; même la rubrique nécrologique y est passée. J'ai bien ri sur les annonces de fiançailles en me demandant qui pouvait bien faire paraître de tels bans "le Capitaine de Bidule de Truc Machin de Chose et Madame vous font part..." jusqu'à tomber nez-à-nez avec une annonce concernant un camarade de promotion - pour ceux qui le connaissent, Hugues s'est fiancé - et dont le nom à double particule m'avait toujours un peu laissée perplexe.

Assise au premier siège côté hublot, j'ai pu voir Tunis au décollage : le stade de Radès, l'horloge de l'avenue principale du centre ville et l'hôtel Africa juste à côté, mon lyyyycééée fier et droit sur sa petite colline. Puis à Marseille rebelote à l'atterrissage, vue imprenable sur le port, un hôtel à l'architecture étrangement similaire à celle de l'Africa, puis la zone industrielle de Vitrolle, pour le coup vraiment moche.

Température au sol de 1°. J'ai perdu 20° en 1h. C'est toujours mieux que si j'étais allée directement à Paris, me dis-je pour le réconfort.

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