"Me tenant comme je suis, un pied dans un pays et l'autre en un autre, je trouve ma condition très heureuse, en ce qu'elle est libre." - R. Descartes

vendredi 22 janvier 2010

Quand y en a plus

Je ne sais pas si vous suivez très attentivement les rebondissements de mon départ pour l'Amérique du Sud, et je comprendrais que vous soyez quelque peu perdus par ce flot incessant et régulièrement mouvant d'information. Moi-même je m'y perds, et tous les jours, fébrile, je dois être prête à recevoir de nouvelles nouvelles renversantes !

Alors pour vous permettre d'être à jour, voici un court résumé des péripéties d'avant départ.

Déjà à peine dix jours après avoir signé pour l'Equateur on m'apprenait que la destination avait changé pour Bogota. Puis mon permis de travail colombien n'a pas été prêt à temps pour que je sois présente à la formation du 18 janvier à Rio, ce qui a retardé mon départ à la formation suivante, le 8 mars prochain.

Aujourd'hui je n'ai pas encore de nouvelles de mon permis de travail (je relance pourtant la personne qui s'en occupe assez régulièrement), mais j'en ai de la prochaine formation : elle a été avancée au 22 février ! Donc sous réserve que mon permis soit prêt pour cette date, je pourrais m'envoler plus tôt que prévu.

Tout cela reste bien entendu du domaine du potentiel, du conditionnel, de l'hypothétique. Car d'ici mon départ je peux changer d'attribution géographique (Vechta en Allemagne restant l'option TOTAL FAIL), je peux partir en juin - ou mi février (pas besoin de permis de travail pour Vechta !), bref un éventail de possibilité est déployé face à moi, et le choix ne m'en revient pas. Hmm j'aime vivre dans le doute !

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