"Me tenant comme je suis, un pied dans un pays et l'autre en un autre, je trouve ma condition très heureuse, en ce qu'elle est libre." - R. Descartes

mardi 16 février 2010

Paris Magique sur votre gauche

Ce matin, les yeux cernés et le coeur léger j'embarquais dans l'AF 1985 pour Paris.
Départ par temps nuageux et maussade à Tunis, vol éclair en compagnie d'une des protagonistes de la baston d'hier - true story, arrivée à Paris un quart d'heure à l'avance par temps clair et rayonnant nous offrant une vue imprenable sur Paris Magique - sic Rémi notre commandant de bord. Moment magique en effet. Pour vous donner une idée, c'est comme voir une maquette de la capitale, mais avec la Seine qui scintille de lumière, baignant St-Louis et Cité se tenant au chaud côte-à-côte, Tour Montparnasse se la pétant de son port altier et face à elle Dame de Fer soutenant le poids des années, pimpante et fraiche comme au premier jour.


Juste le temps de récupérer mon sac, arrivé presque avant moi au niveau des tapis, et je file vers Clamart récupérer mon dossier.

Là, une blague m'attend : mes papiers sont arrivés, avec une note précisant qu'il faut se rendre au Consulat Colombien le plus proche pour faire la demande de permis de travail, permis qui met normalement 4 jours minimum pour être prêt, sachant que le site du consulat mentionne 24 heures et que si mes calculs sont bons (rien n'est moins sûr) dans 4 jours je suis supposée survoler l'Atlantique...

Bref la RH d'ici a eu la même surprise que moi, et à l'heure qu'il est elle doit être en train de trouver un moyen de contourner cet ultime problème. Quand y en a plus...

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